Vénus, par Songe

Directement inspiré du roman sur lequel je travaille actuellement, ce récit que je vous offre sera probablement long. C'est une histoire d'amour. Ou plutôt l'histoire des amours d'un amant. Je l'expose à vos critiques. Soyez indulgents quant à ce court prologue que je vous expose en premier. Il est largement bâclé ; je le travaillerai ultérieurement.

Vénus, là d'où viennent les femmes dit-on. Vénus, c'est l'Aphrodite des Romains. Déesse de la beauté et de l'amour, elle incarne le désir. Pêchés, excès et goût de l'Interdit seront omniprésents dans son récit, puisque c'est l'histoire d'un homme qui ne peut se passer d'aimer les femmes.

Mais, sont-ce les femmes ou le sentiment amoureux qu'il chérit tant ? C'est la grande question de cette histoire. Je le déconseille aux gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez quand ils lisent une oeuvre.
C'est aussi une histoire très personnelle.





Je m’éveillai en sursaut, haletant. Les draps blancs collaient à ma peau sur laquelle ruisselaient quelques gouttes de sueur. J’avais terriblement chaud. J’ouvris la fenêtre de ma chambre et m’accoudai à la rambarde, observant la foultitude de points lumineux qui tapissaient ce tableau qui s’offrait à moi. Je baissai alors mon regard sur la rue où un jeune homme s’amusait du rire de sa dulcinée que je lui volais le temps de cette contemplation. La brise nocturne caressait mon visage que mes larmes avaient creusé.

Il fallait que je prenne une douche, pour me rafraîchir. Car, même s’il était deux heures du matin, je ne parviendrais sans doute pas à trouver de nouveau le sommeil. Comme toujours depuis que j’errais seul dans ce vaste appartement.

L’eau longeait ma colonne vertébrale sinueuse. Chaude.
Ses lèvres s’approchaient des miennes et elle jouissait d’un plaisir malin à me torturer, se contentant de les effleurer. Puis, avant que je ne puisse goûter à ce fruit si savoureux, objet de mon désir, elle descendait ses lèvres dans mon cou, le mordant avec avidité. Je parcourais ses courbes élégantes, en les détaillant de mes doigts maladroits. L’eau frappait avec frénésie nos corps enlacés.

Sur mon visage, l’eau ruisselante se mélangeait à ces perles lacrymales face auxquelles je cédais de nouveau. J’accrochais une serviette autour de ma taille et m’allumais une cigarette en me dirigeant vers mon salon. Dehors, ce spectacle éphémère qui meurt avec l’aube resplendissait. Celui qui est unique à Paris. La première femme dans ma vie. Des bibliothèques rivalisaient dans cette pièce avec d’autres meubles sur lesquels trônaient fièrement des antiquités en marbre. Sur un mur, un grand tableau du romantisme accroché représentait une femme à demi allongée sur un fauteuil, un léger drap blanc dissimulant sa nudité. Au milieu de la pièce, sur un tapis finement tissé, un piano à queue blanc se dressait, ses touches d’ébène et d’ivoire n’attendant que les doigts d’un virtuose qui s’affolerait avec elles, entraînant le calme oppressant dans l'entrain d'une mélodie symbiotique.

Je me souvenais de ces folles journées où elle fermait ses yeux, écoutant les notes du « Maple Leaf Rag » que je lui jouais se mêler aux chants des oiseaux de Montmartre.

Elle m’aimait.

Avant tout ... J'ADORE !
C'est très beau *.* j'attend avec impatience la suite !!l'histoire semble déjà géniale ^^ bien que se soit qu'un prologue ç_ ç


Juste un petit hic... Je trouve que tu changes de sujet très brusquement... Et c'est tout se que je trouve à redire ^^ mais sinon... Bravo !

oO j'avais pas pensé à cette option =]

Bah.. Sa n'empêche pas que j'attend la suite avec impatience !! et bravo, encore une fois ^^

Quel vocabulaire ! Ça fait du bien de lire une histoire avec autant de vocabulaire comme ça ...
Tes phrases sont très bien menées , j'adore !
Je te souhaite une bonne continuation

Désolé mais ... j'ai pas trop compris >.< je n'ai pas l'habitude de lire des truk aussi "compliqué" :X je lis Harry Potter; livre que le collège me donne et des mangas ( j'ai commencé le seigneur des anneaux ). Enfin puisque tout le monde aime sa doit être bien

tout le monde a compris sauf moi , snif